Pour cette 2e édition, Synergie –Togo donnera l’occasion aux Togolais et aux amis du Togo d’aller plus avant dans la réflexion sur le dispositif à mettre en place pour avoir en 2010 des élections véritablement libres, démocratiques et transparentes. La séance s’articulera autour de la thématique de Bien compter avec trois exposés centraux de 15 minutes chacun ; les exposés porteront sur : les conditions pour Bien compter ; le rôle de la société civile togolaise ; l’implication de la société civile internationale.
Archives for mai 2009
Contribution d’Afrology à la 2e Conférence de Synergie Togo (vidéo)
Lorsqu’ une équipe de Togolais de la Diaspora se fait inviter au Parlement français pour venir rappeler les responsabilités de chacun, à savoir celles de l’exécutif togolais, des partis de l’opposition, des organisations de la société civile, des organisations internationales, africaines et régionales, alors, l’influence de la diaspora commence à se faire sentir.
OBSERVATION DES ELECTIONS ET SOCIETE CIVILE INTERNATIONALE
Compte tenu de l’impossible alternance politique au Togo depuis 1967, plus de 27 modifications de la Constitution de 1992 acceptée par la population lors d’un référendum, l’échec des précédentes tentatives d’alternance pacifique, le nombre de victimes liées à la défense de la démocratie de la force, il devient urgent pour les Togolais et Togolaises de s’organiser en synergie pour faciliter l’avènement de la vérité des urnes au Togo. C’est d’ailleurs l’occasion de se réconcilier avec l’histoire en retrouvant le vrai paysage politique du Togo selon la décision libre des électeurs.
GHANA : Stabilité, éthique et développement
C’est la première fois dans l’histoire du Ghana indépendant qu’un vice-président, qui a échoué par deux fois au cours des élections présidentielles précédentes, devient Président à la faveur des élections démocratiques du 28 décembre 2008.
FAUT-IL PARDONNER LE FMI POUR SES ERREURS ?
Avec la banqueroute d’un Etat riche comme l’Islande, la crise financière démultipliée par la déréglementation et la valorisation d’un système libéral privilégiant la spéculation, une autre crise financière ne doit pas être exclue. Elles pourraient être liées en Afrique à une difficile reprise du développement industriel du fait de la contraction des flux de capitaux privés, la réduction des transferts d’argent de la Diaspora, le nivellement de l’aide au développement, la contraction de la demande pour les matières premières africaines, la limitation de la marge de manœuvre pour les budgets des Etats africains et l’amplification de la corruption.
SORTIR DE LA CRISE EN DEVALUANT
Choisir le FCFA, le Dollar américain ou l’Euro?
Des interrogations alarmistes dans les pays francophones africains commencent à se cristalliser autour d’un refus de la dévaluation de la monnaie de la zone franc. Mais plus globalement, c’est la dévaluation des monnaies africaines par rapport aux monnaies des principaux pays riches qui est posée en filigrane.