Le rapport 2010 de la Banque mondiale traite de la dite “petite” corruption. Au delà de la critique qui est réelle, cela ne doit pas faire passer l’Afrique pour la seule concernée…
Mais c’est que la Banque mondiale en évitant de parler de la grande corruption organisée par les Etats ou identifiés dans leur propre projet, contribue discrètement à taire sa complicité dans le phénomène…
Les privatisations en Afrique sont précédées de la disparition des comptes d’amortissements ou de renouvellement des équipements qui permettent les transferts de propriété à des non Africains, sans d’ailleurs que le service public “privatisé” ou les capacités productives “privatisées” ne créent des emplois ou rendent les services aux populations africaines…