LE DÉBAT AFRICAIN, Par Madeleine Mukamabano
1er volet où nous reviendrons sur les principaux événements politiques tels que les élections ou les crises politiques.
Archives for décembre 2009
DIASPORA TOGOLAISE : Se disperser ou agir ensemble?
Diaporama de la Conférence citoyenne organisée par Le Congrès mondial de la Diaspora Togolaise (CMDT)
Paris, 12 décembre 2009, 14h -18h, MRAP, 43 boulevard de Magenta 75010 Paris, Métro Jacques Bonsergent
Attention Mr Jabulani Sikhakhane
Dear Mr. Sikhakhane,
Thanks for your analysis, but a large part of it is not correct and fails to raise the strategic and fundamental issue of economic alternative for Africa.
As the lead consultant for CoDa (just recruited 4 weeks before the meeting took place), I was asked to prepare a paper and to speak 30-35 mn and spoke 42 mn. The 20 mn you referred to seems to be a last minute arbitrary decision (on the program) and unknown to me.
LA MUTATION DE L’AFRIQUE ENTRE 2010-2019 : Le partenariat intelligent comme stratégie
La décade 2000-2009 se termine. L’Afrique entre de plein pied dans la décade 2010-2019 sans avoir fait le bilan des responsabilités internes pour ce qui est du passé et sans avoir fixé les objectifs des 10 prochaines années au plan interne. Aussi sur 54 pays africains et 50 ans après les indépendances juridiques pour les uns, politiques pour les autres, les pays africains qui ne connaissent pas les devoirs et les responsabilités de l’indépendance économique sont largement majoritaires.
Interview avec M. Yves Ekoue Amaïzo (CoDA)
La crise financière mondiale qui impacte négativement les économies africaines, est une opportunité rare pour le continent de redéfinir ses paradigmes du développement.
AFRIQUE : ALTERNATIVES EMERGENTES
Commencer un livre avec une conjonction de coordination de type emphatique « et » comme au demeurant le « Et demain l’Afrique » de l’ex-secrétaire général de l’OUA, Edem Kodjo, rappelle que Jean Ping s’inscrit bien dans un processus. Poser des questions, c’est y répondre de manière convaincante. C’est ce qu’à réussi Erik Reinert en puisant dans l’histoire économique pour expliquer le fossé économique entre riches et pauvres.
Africa’s Alternative Response to the Global Financial Crisis (Slideshow)
Africa is suffering from the direct consequences of an exogenous crisis linked to excess deregulation and organization of wealth creation disconnected from production and the real economy. Through its prudent macro-economic management and the weakness of its financial infrastructure, Africa very scarcely operates on the virtual marketplace, much less dabble in speculation. As such, Africa is neither guilty nor responsible for the 2008 financial crisis, even though it bears the brunt of the collateral effects of economic externalities.
Africa’s Alternative Response to the Global Financial Crisis
The Coalition for Dialogue on Africa (CoDA) offers an alternative perspective on the responses to the consequences of the 2008 financial crisis in Africa. The paradigm of economic and financial dependency can no longer adequately explain the complexity of a systemic crisis facing African Nations. The under-mentioned prerequisites must be met: break with the palliative economy, reject the conception of Africa as the variable adjustment for post-industrial economies, be ever alert to the trap embedded in the “poverty reduction” concept which is by no means synonymous with shared wealth creation, neutralize straight-jacket solutions considered as “universal solutions”, etc.
Crise financière mondiale : des réponses alternatives de l’Afrique – (CoDA 2009)(Diaporama)
L’Afrique subit les conséquences directes d’une crise exogène liée à un excès de dérégulation et d’organisation de la création de richesse en déconnection avec la production et l’économie réelle. Par sa gestion macro-économique prudente et la faiblesse de ses infrastructures financières, l’Afrique n’opère que très peu dans le marché virtuel, encore moins sur celui de la spéculation. A ce titre, l’Afrique n’est ni coupable, ni responsable de la crise financière de 2008. Elle subit néanmoins dans la durée les effets collatéraux des externalités économiques.
Crise financière mondiale : des réponses alternatives de l’Afrique – (CoDA 2009)
La Coalition pour le Dialogue sur l’Afrique (CoDA) propose une lecture alternative des réponses à apporter aux conséquences en Afrique de la crise financière de 2008. Le paradigme de dépendance économique et financière ne suffit plus pour expliquer la complexité d’une crise systémique touchant les nations africaines. Rupture avec l’économie palliative, rejet d’une Afrique conçue comme la variable d’ajustement pour les économies postindustrielles, vigilance à l’égard du piège contenu dans le concept de « réduction de la pauvreté » qui n’est pas du tout synonyme de création de richesse partagée, neutralisation des solutions toutes faites ou dites « universelles », etc. Tels sont les préalables.
Crise : les solutions d’Yves Ekoué Amaïzo
Face à la crise financière mondiale, l’Afrique doit suggérer des réponses reposant sur “les contre-pouvoirs”, a proposé samedi l’expert en architecture financière, Yves Ekoué Amaïzo, originaire du Togo, lors d’une réunion à Tunis de la Coalition pour le dialogue sur l’Afrique (CoDa).