Podcast de l’émission: le débat du jour sur rfi
Podcasts (Audio/Vidéo)
Contribution d’Afrology à la 1e Conférence de Synergie Togo
Synergie – Togo a tenu sa première Conférence-débat à Paris le 14 février 2009. Présidée par Camille Lawson Body, la session a réuni près de 200 membres de la diaspora togolaise, ainsi que des représentants du monde associatif, des partis politiques et des médias.
Contribution d’Afrology à la 1e Conférence de Synergie Togo (vidéo)
Au cours de la première conférence de Synergie Togo (février 2009, Paris), il a été demandé à l’invité de rappeler brièvement le rôle de la Diaspora togolaise qui envoie près de 200 millions de $ US par an au Togo.
Mais l’essentiel de l’intervention de l’invité de l’Association Synergie Togo a porté sur la comparaison entre les élections au Ghana (fin 2008) et les élections au Togo (début 2005).
Etat des lieux de la corruption en Afrique
De nombreuses conférences ont régulièrement lieu pour culpabiliser l’Afrique par le biais d’une corruption endémique…
Mais la réalité est qu’il n’y a pas de corruption sans corrupteurs… Faut-il rajouter corrupteurs occidentaux? Certainement, car s’il y a une leçon que certains Africains ont bien appris de la colonisation, c’est bien la gouvernance de la corruption.
Crise financière : l’Afrique est-elle épargnée ?
Comment peut-on croire que l’Afrique sera épargnée par la crise financière ? Encore de la propagande pour éviter que les Africains ne viennent demander à ceux qui ont contribué à créer cette crise de ne pas payer pour les dégâts collatéraux commis en Afrique. Ecouter l’émission
L’état de la réflexion stratégique en Afrique
Pour faire face aux défis du moment et en même temps préparer l’avenir, la plupart des pays occidentaux, asiatiques ou latino-américains bénéficient des travaux des groupes de réflexion, les fameux « think tanks ».
Gouvernance pour le développement au 21e siècle de l’Afrique (Vidéo)
L’approche adoptée par les Chefs d’Etat africains consistant à institutionnaliser un contrôle mutuel, euphémisme pour un droit d’ingérence, voire d’actions préventives, ne semble pas faire l’unanimité. Les raisons sont d’ailleurs diverses selon les Chefs d’Etat. Pourtant le mécanisme africain d’évaluation des pairs (MAEP), contrôlé par le Secrétariat du Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique (NEPAD), un instrument à part entière de l’Union africaine, a été mis en place sans la participation du peuple africain.