Questions sur l’actualité du 2 novembre 2011 Les chefs d’Etat et de Gouvernement du G20 se réunissent en France, à Cannes. Le G20 représente 85 % de l’économie mondiale et 2/3 de la population planétaire. L’Afrique du sud y est représentée en tant que pays émergent. Sous la présidence de la France et avec la […]
Nicolas Sarkozy
Rama Yade se recentre : vers une Union de la Majorité Centrale (UMC) ?
Questions sur l’actualité du 27 octobre 2011 Après avoir été remerciée par Nicolas Sarkozy en novembre 2010, il a suffi d’un mois pour que Rama Yade, ex-secrétaire d’Etat aux Sports, Ambassadrice auprès de l’UNESCO pour quelques mois, rejoigne, par « solidarité », le Parti radical de Jean Louis Borloo. Populaire, elle reste membre du «parti présidentiel ». Le […]
TOGO, LA CONFIANCE AVANT LE DIALOGUE : POURQUOI FAURE GNASSINBE NE DOIT PAS SE PRESENTER EN 2015 !
ANALYSE DU 24 SEPTEMBRE 2011 Installé depuis six ans à la tête du Togo, Faure Gnassingbé ne cesse de renforcer une gouvernance patrimoniale, hier soutenue par le Rassemblement du Peuple Togolais (RPT), aujourd’hui par la coalition RPT/AGO (Amis de Gilchrist Olympio). Cette gestion est fondée sur l’inégalité et les tensions entre Togolais et Togolaises de […]
Radio Kanal K – Fenêtre sur l’Afrique du 17 septembre 2011
Fenêtre sur l’Afrique du 17 septembre 2011 sur Radio kanal k en Suisse a été consacrée à la crise en Libye et à l’actualité politique au Togo.
Thème: L’intervention militaire de l’OTAN est nécessaire pour instaurer la démocratie en Libye ?
Invités : 1- Dr Jean-Aimé Moukétou. 2- Dr Yves Ekoué Amaïzo, 3- M. André Loembé, 4- M. Gilbert Kouessi, 5- M. Kofi Folikpo.
Rodrigue Lawson, correspondant de “Fenêtre sur l’Afrique” a fait le briefing sur l’actualité politique de la semaine au Togo.
Informalisation de la Françafrique : le cinquantenaire des rétrocommissions
Questions sur l’actualité du 14 septembre 2011 Lorsque Robert Bourgi, avocat de 66 ans, ami de Nicolas Sarkozy et son réseau, déclare que Jacques Foccart, son maître et patron-fondateur de la françafrique le conseilla d’être « un homme d’influence plutôt qu’un homme de pouvoir », il ne se fit pas prier. Bourgi a trois objectifs […]
Le Rwanda va mieux sans la France : rétablir des liens d’égal à égal
Questions sur l’actualité du 12 septembre 2011 C’est finalement le 12 et 13 septembre 2011 que le Président rwandais, Paul Kagamé, foulera le sol français en visite officielle en qualité de « dirigeant » « fréquentable ». En effet, sous François Mitterrand, Paul Kagamé, chef de la rébellion tutsie a été reconduit hors de France puisque la France soutenait […]
L’ARCHITECTURE D’UN GOUVERNEMENT ECONOMIQUE EUROPEEN : Entre endettement et négation du pouvoir d’achat
17 août 2011 Personne n’attendait de grandes avancées du couple « Merkel-Sarkozy» lesquels se sont rencontrés le 16 août 2011 en pleine crise de confiance des places financières. Pourtant à analyser les propositions faites, il semble que tout ce qui touche de près ou de loin à un renflouement des « caisses » de l’Union européenne a été […]
AFRIQUE DU SUD : Entre justice sociale et contraintes budgétaires
Introduction : le 2e budget de Zuma : croissance économique et redistribution régulée Depuis que le parti dominant l’African National Congress (ANC) a remporté les élections générales le 22 avril 2009 et selon les estimations de la Banque mondiale, l’économie sud-africaine a retrouvé une certaine résilience. Elle est passée, sous la présidence de Jacob Zuma, à une […]
LE TOGO : ENTRE INDEPENDANCE DU 27 AVRIL 2011 ET EXORCISME ?
ANALYSE DU 29 AVRIL 2011 Lorsqu’il s’agit de rappeler à la mémoire des Togolaises et Togolais, les luttes effectuées par leurs aïeux, ancêtres ou simplement prédécesseurs, pour libérer le Togo du joug colonial de la France, le nom de Sylvanus Olympio est incontournable. Au-delà de l’homme politique, c’est à l’économiste qu’il convient aussi de rendre […]
COMMUNAUTE INTERNATIONALE ET DROIT D’INGERENCE : Approche manichéenne et vérité des urnes violée
Il est clair aujourd’hui que la définition du terme « Communauté internationale » est à géométrie variable selon que l’on aborde le sujet de l’Afghanistan, de Bahreïn, de la Libye, de la Côte d’Ivoire, de la Centrafrique, du Bénin ou du Togo. Depuis l’offensive éclair, démarrée depuis le début du mois, sur la capitale économique de la […]
LA PALABRE AFRICAINE INTELLIGENTE : Un instrument de sortie de crise
A la fin de l’année 2010, la Communauté internationale a choisi, malgré elle, de mettre en avant une approche politique du « deux poids, deux mesures » pour gérer les questions internationales, africaines et arabes en particulier. Elle a systématiquement refusé de soutenir les oppositions démocratiques, y compris en Arabie Saoudite, avec comme argument majeur la garantie d’un approvisionnement en pétrole. Cette politique, qui permet à l’imbroglio palestinien de perdurer, tend à être remise en cause dans le monde arabe, où des Peuples longtemps privés de liberté ont pris leurs affaires en main, avec une hargne et une audace nouvelle. Il est aussi question de retrouver une dignité perdue, d’imposer le respect des droits du citoyen à choisir ses dirigeants, qui ne peuvent être remplacés par des personnalités « militaro-civiles » non élues.
G20 ET INSTITUTIONALISATION DE LA POSTCOLONIE : L’Afrique exclue des décisions ?
Dans le cadre de la double présidence française du G8 et du G20 qui a commencé depuis novembre 2010, Nicolas Sarkozy, le Président français, a dévoilé son agenda le 24 janvier 2011 sans apporter de précisions sur les moyens concrets de mettre en œuvre des objectifs. Les chances de faisabilité de nombreuses propositions, pourtant alléchantes, semblent relever d’une opération de communication. Les annonces précédentes sont passées sous silence. Et les vrais problèmes que constituent le contrôle des banques et la limitation des profits distribués ne sont pas abordés. Le G20 travaille-t-il pour améliorer le sort des 172 Etats non représentés dans le G20 ? Le G20 cherche-t-il à mieux surveiller et contrôler les velléités futures de résistance, voire de révolte économique, des 172 pays laissés pour compte ? Avec une Afrique divisée – entre les dirigeants qui trahissent la cause de population en faisant passer les intérêts étrangers avant ceux des populations locales et les dirigeants qui tentent d’organiser leur souveraineté économique -, les marges de manœuvre pour une Afrique considérée au mieux comme un simple observateur, au pire comme une variable d’ajustement pour les puissances moyennes, pose problème. Le G20 tente-t-il d’institutionnaliser la postcolonie en organisant l’exclusion de l’Afrique dans les décisions la concernant ?
G 20 : Quelle place pour l’Afrique ?
Le Débat du jour du Mardi 11 janvier 2011 19h10-19h30 sur Rfi Avec le Président français Nicolas Sarkozy à la tête du G20 pour un an, il importe de s’interrroger sur le sort réservé à l’Afrique. Ce continent doit continuer à rester un simple observateur ou est-ce que le Président Sarkozy pourra convaincre les autres membres […]