Le développement de l’Afrique ne peut qu’être l’affaire de tous les citoyens africains et non uniquement celle de quelques dirigeants africains.
Editorial
FAUT-IL PARDONNER LE FMI POUR SES ERREURS ?
Avec la banqueroute d’un Etat riche comme l’Islande, la crise financière démultipliée par la déréglementation et la valorisation d’un système libéral privilégiant la spéculation, une autre crise financière ne doit pas être exclue. Elles pourraient être liées en Afrique à une difficile reprise du développement industriel du fait de la contraction des flux de capitaux privés, la réduction des transferts d’argent de la Diaspora, le nivellement de l’aide au développement, la contraction de la demande pour les matières premières africaines, la limitation de la marge de manœuvre pour les budgets des Etats africains et l’amplification de la corruption.
Le coup de gueule d’ Yves Ekoué Amaïzo
La place réservée par les pays riches aux pays pauvres, à l’Afrique en particulier, se résume régulièrement à celle d’un espace périphérique où l’Afrique ne sert que de variable d’ajustement. L’idéal serait que l’Afrique pousse à changer le format du G20 en exigeant que la participation des uns et des autres repose sur des critères de représentation géographique et démographique, et de poids économique.
Réinventer l’histoire économique de l’Afrique
La place réservée à l’Afrique se résume toujours à celle d’un espace périphérique qui ne peut que servir de variable d’ajustement(1). Ladite «communauté internationale» de l’époque n’avait jamais imaginé que les colonies pouvaient devenir des États indépendants au point de réclamer aujourd’hui d’être représentés dans la nouvelle architecture financière et économique mondiale en gestation.
China-Africa: a win-win strategy
I refer to the China-Africa Tie the knot (African Business, December 2006 issue). China’s President Hu Jintao’s visit to 10 African countries last month has inspired me to write to you to offer some views on this ‘new’ relationship
La diplomatie à l’africaine du G 8
Promettre, promettre et promettre… Incapable d’aider véritablement les Africains à atteindre les objectifs du Millénaire des Nations Unies, notamment le volet portant sur la réduction de la pauvreté, l’ensemble des pays des riches regroupés sous le G 8 semble dévoiler petit à petit son véritable objectif géostratégique caché justement sous les promesses de réduction de […]
Marshall Plan for Africa: produce now, pay later
The launch of the report of the Commission for Africa (CfA) entitled “Our Common Interest” at the British Museum in London last month revealed that the CfA appears to be primarily concerned with injecting more equality in the manner that the West conducts business with Africa.