Les monnaies africaines servant d’équivalent général dans les transactions ne peuvent évoluer vers une monnaie commune d’ici à l’an 2021 sur décision des chefs d’Etats membres de l’Union africaine.
Economie
China-Africa: a win-win strategy
I refer to the China-Africa Tie the knot (African Business, December 2006 issue). China’s President Hu Jintao’s visit to 10 African countries last month has inspired me to write to you to offer some views on this ‘new’ relationship
De la Françafrique à la Chinafrique : Gagnant – Perdant ?
Avec le départ de grandes sociétés françaises comme Dagris, (ex-CMD, Compagnie malienne pour le développement du textile, elle-même ex-CFDT, ex-compagnie française de développement textile) de l’Afrique, il est clair que la compétition de l’Asie se fait sentir sérieusement. Mais la vérité, est que plusieurs des sociétés occidentales organisées dans le protectionnisme de la post-colonie ne peuvent plus tenir face à l’arrivée structurée et structurante de la Chine.
L’inégalité en Afrique : une fatalité ?
Les corrélations entre la mondialisation économique, la pauvreté et les inégalités en Afrique sont souvent absentes selon que l’on présente la situation d’un point de vue des pays du Nord ou du Sud. Pourtant du point de vue de la population africaine, on peut être surpris par l’importance que prend l’acceptation de la fatalité comme source de justification de l’inégalité.
IIème Conférence mondiale des intellectuels d’Afrique et de la Diaspora (CIAD II)
Les relations entre l’Afrique et l’Amérique latine et les Caraïbes ont été souvent « platoniques » si l’on se réfère aux échanges des biens et services entre les deux continents. La solidarité tant souhaitée ne peut que reposer sur une organisation solide et fondée sur des organisations travaillant en réseaux avec pour objectif premier : la transparence, la performance et la solidarité.
Architecture monétaire en panne : Discipline monétaire, retard et crédibilité
Les monnaies africaines servant d’équivalent général, de monnaie de réserve et de compte dans les transactions ne peuvent évoluer vers une monnaie commune d’ici à l’an 2021 sur simple décision des chefs d’États membres de l’Union africaine.
Pour une nouvelle coopération Afrique-Chine : Des erreurs à ne plus reproduire
Le 22 avril 2005, lors du sommet Asie-Afrique rappelant les 45 ans de la Conférence de Bandung [1], le Président chinois Hu Jintao a annoncé la “construction d’un nouveau type de partenariat stratégique Asie-Afrique à long terme, stable et substantiel, qui réponde aux changements du temps” : la solidarité politique, la coopération économique et les relations culturelles forment la base d’une nouvelle approche reposant sur l’esprit de Bandung, sur la paix et la coexistence pacifique par des dialogues fréquents et approfondis.
OMC : Solidarité par défaut ou accalmie trompeuse
Après les échecs éprouvants de l’OMC à Seattle et à Cancun[1], la stratégie du “no surprise” de Pascal Lamy semble avoir payé. Adopté en novembre 2001 à Doha au Qatar lors de la 4e conférence ministérielle de l’Organisation mondiale pour le Commerce (OMC), le programme de Doha, qui comporte 21 dossiers visant à éliminer les obstacles au commerce.
Gouvernance pour le développement au 21e siècle de l’Afrique (Diaporama)
Le nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) apparaît comme une tentative des chefs d’Etat africains, au nom et à la place de leurs peuples, de s’inscrire durablement dans la logique d’une participation active à la gouvernance mondiale. Il fallait inventer une structure appropriée de gestion des affaires publiques qui tienne compte de l’histoire, de la culture et des pratiques africaines en termes de gouvernance…
Gouvernance pour le développement au 21e siècle de l’Afrique (Vidéo)
L’approche adoptée par les Chefs d’Etat africains consistant à institutionnaliser un contrôle mutuel, euphémisme pour un droit d’ingérence, voire d’actions préventives, ne semble pas faire l’unanimité. Les raisons sont d’ailleurs diverses selon les Chefs d’Etat. Pourtant le mécanisme africain d’évaluation des pairs (MAEP), contrôlé par le Secrétariat du Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique (NEPAD), un instrument à part entière de l’Union africaine, a été mis en place sans la participation du peuple africain.
Gouvernance pour le développement au 21e siècle de l’Afrique
Le nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) – cette entreprise de reconstruction continentale – qui insiste ainsi sur la nécessité d’instaurer des règles de bonne gestion, de trouver des solutions africaines aux conflits et d’encourager la démocratisation par l’instauration de mécanismes d’évaluation par les pairs, n’illustre-t-il pas l’impact de la notion de gouvernance en matière de régionalisation ? Peut-on trouver des structures et politiques similaires en Amérique latine en lien avec la gouvernance ?
Rationaliser le rôle des institutions financières en Afrique
Lors des dernières assemblées générales de la Banque mondiale et du FMI (septembre 2005), le nouveau président de la Banque africaine de développement (BAD), M. Donald Kaberuka, ancien ministre de l’économie et des finances du Rwanda, a estimé que la flambée des prix du pétrole risquait d’avoir un impact négatif sur la capacité de certaines économies à atteindre les objectifs du millénaire du développement.
OMC : Solidarité sans contreparties pour les pays faiblement industrialisés ?
Si l’on se réfère au communiqué du G 8 de Gleneagles de juillet 2005, il faut se réjouir du renouvellement des engagements des pays riches envers l’Afrique. Le G 8 a réaffirmé l’urgence des actions convergentes et complémentaires qui peuvent conduire à une croissance durable autoentretenue avec comme conséquence, la fin de la dépendance à long terme de l’Afrique vis-à-vis de l’Occident.