Neo-liberalism has dominated academic debates and policy choices concerning economic development since the early 1980s. Although this approach has been vigorously critiqued from different perspectives, these critiques have not coalesced into a recognizable alternative in the development economics literature. The main objective of this book is to formulate and name an alternative to neo-liberalism, identify what is new in this approach, and project it onto the academic landscape.
Ping
Attention Mr Jabulani Sikhakhane
Dear Mr. Sikhakhane,
Thanks for your analysis, but a large part of it is not correct and fails to raise the strategic and fundamental issue of economic alternative for Africa.
As the lead consultant for CoDa (just recruited 4 weeks before the meeting took place), I was asked to prepare a paper and to speak 30-35 mn and spoke 42 mn. The 20 mn you referred to seems to be a last minute arbitrary decision (on the program) and unknown to me.
LA MUTATION DE L’AFRIQUE ENTRE 2010-2019 : Le partenariat intelligent comme stratégie
La décade 2000-2009 se termine. L’Afrique entre de plein pied dans la décade 2010-2019 sans avoir fait le bilan des responsabilités internes pour ce qui est du passé et sans avoir fixé les objectifs des 10 prochaines années au plan interne. Aussi sur 54 pays africains et 50 ans après les indépendances juridiques pour les uns, politiques pour les autres, les pays africains qui ne connaissent pas les devoirs et les responsabilités de l’indépendance économique sont largement majoritaires.
AFRIQUE : ALTERNATIVES EMERGENTES
Commencer un livre avec une conjonction de coordination de type emphatique « et » comme au demeurant le « Et demain l’Afrique » de l’ex-secrétaire général de l’OUA, Edem Kodjo, rappelle que Jean Ping s’inscrit bien dans un processus. Poser des questions, c’est y répondre de manière convaincante. C’est ce qu’à réussi Erik Reinert en puisant dans l’histoire économique pour expliquer le fossé économique entre riches et pauvres.
Africa’s Alternative Response to the Global Financial Crisis
The Coalition for Dialogue on Africa (CoDA) offers an alternative perspective on the responses to the consequences of the 2008 financial crisis in Africa. The paradigm of economic and financial dependency can no longer adequately explain the complexity of a systemic crisis facing African Nations. The under-mentioned prerequisites must be met: break with the palliative economy, reject the conception of Africa as the variable adjustment for post-industrial economies, be ever alert to the trap embedded in the “poverty reduction” concept which is by no means synonymous with shared wealth creation, neutralize straight-jacket solutions considered as “universal solutions”, etc.
Crise financière mondiale : des réponses alternatives de l’Afrique – (CoDA 2009)
La Coalition pour le Dialogue sur l’Afrique (CoDA) propose une lecture alternative des réponses à apporter aux conséquences en Afrique de la crise financière de 2008. Le paradigme de dépendance économique et financière ne suffit plus pour expliquer la complexité d’une crise systémique touchant les nations africaines. Rupture avec l’économie palliative, rejet d’une Afrique conçue comme la variable d’ajustement pour les économies postindustrielles, vigilance à l’égard du piège contenu dans le concept de « réduction de la pauvreté » qui n’est pas du tout synonyme de création de richesse partagée, neutralisation des solutions toutes faites ou dites « universelles », etc. Tels sont les préalables.
OMC : CRISE, COMMERCE ET EMPLOI
Pascal Lamy, Directeur général de l’Organisation mondiale pour le commerce (OMC), a entamé officiellement son 2e et dernier mandat de 4 ans le 1er septembre 2009. Il a été choisi comme candidat par défaut. En l’absence d’autres candidatures, on aurait pu croire à un succès fulgurant tel que cela avait été annoncé lors de sa première prise de fonction. En réalité, les choix de candidats pour diriger les organisations internationales résultent souvent d’un partage en catimini entre les pays les plus influents et puissants de ce monde et fondent une forme d’équilibre mondial des influences.
OBAMA ET L’AFRIQUE : « Déverrouiller » les dirigeants africains pour libérer les Africains
Moins d’un mois après le discours du Président des Etats-Unis, Barack Obama(i), prononcé le 11 juillet 2009 à Accra au Ghana, la secrétaire d’Etat en charge des affaires étrangères, Mme Hilary Clinton, sur instruction de son Président, effectuera une tournée dans sept pays en Afrique (Kenya, Afrique du sud, Angola, République démocratique du Congo, Nigeria, Liberia, Cap-Vert) du 5 au 14 août 2009. C’est une recomposition sélective des rapports américano-africains.
DE LA LOCATION-BAIL AU NEOCOLONIALISME : La ruée vers les terres arables africaines
Suite à la crise alimentaire et l’augmentation exponentielle des prix agricoles, certains Etats ont refusé de vendre à l’extérieur leurs produits agricoles tant que la population locale n’aura pas été servie en priorité. La panique de la dépendance alimentaire et les aléas dans l’approvisionnement ont conduit à une ruée vers les terres arables africaines.
DE L’UNION AFRICAINE A L’AUTORITE AFRICAINE : Querelles institutionnelles et sécurité alimentaire oubliée
Malgré les nombreuses voix non constructives ou désabusées qui ne voient en l’Union africaine qu’une coquille vide, il faut reconnaître que les chefs d’Etat africains discutent sérieusement de sujets qui fâchent et n’aiment pas rendre tout ceci public. Le Président ougandais Yoweri Museveni a même préféré ne pas se rendre à Sirte en Libye où s’est tenue cette 13e session ordinaire de l’Union africaine, pour éviter certainement des empoignades mémorables, pour ceux qui se souviennent des divergences entre lui et le Guide libyen, Mouammar Kadhafi.
UNE AUTRE AFRIQUE EST POSSIBLE : Organiser la lisibilité et la transparence
Le développement de l’Afrique ne peut qu’être l’affaire de tous les citoyens africains et non uniquement celle de quelques dirigeants africains.
SORTIR DE LA CRISE EN DEVALUANT
Choisir le FCFA, le Dollar américain ou l’Euro?
Des interrogations alarmistes dans les pays francophones africains commencent à se cristalliser autour d’un refus de la dévaluation de la monnaie de la zone franc. Mais plus globalement, c’est la dévaluation des monnaies africaines par rapport aux monnaies des principaux pays riches qui est posée en filigrane.
Le G20 et les dirigeants africain : Les conséquences en différé
Le format du G20 n’a pas été changé [1]. On a évité soigneusement de parler de la cause et donc des véritables responsables de la crise financière afin de leur demander de payer plus que les autres. Malheureusement, l’Afrique sera encore invitée pour la prochaine réunion prévue à New York en septembre comme un invité de seconde zone.